MAG AJL SELF DEFENSE AOUT 2017

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SOMMAIRE MAG AJL AOUT 2017 Cliquez pour vous abonner gratuitement A ce jour - 28.000 lecteurs et 315.000 vues

* Page 4 - Krav Maga Anti Terror - KMAI avec Reouven BENCHIMOL

* Page 10 - Groupe d'Intervention GI Sécurité Patrouilleur

* Page 16 - Fiches techniques du mois de Kenjutsu avec le Maitre Francis DE HEBLES

* Page 20 - Bunkaï Karate (Part 1) by Kyoshi Frank WEBER

* Pages 26 - Le chien d'intervention K9 Unit avec Olivier GREMAUD

* Page 30 - SELF PRO KRAV Ile Maurice avec Didier AMEER

* Page 32 - Fête du sport 2017 - Les enfants à l'honneur

* Page 36 - Fiches techniques SPK - Attaques de marteau

* Pages 38 - Art Martial et Art Théâtral avec l'association Hellébore

* Pages 42 - Women Self Defense by Master Jacques Levinet

* Pages 48 - Rétro Budo Magazine - Le prestige du Kenjutsu

Siret - 423.512.614.000.18 --- Code APE/NAF 926 CG Préfecture N° 034.301.30.33 --- www.magazineselfdefense.com

Rédacteur en Chef - Capitaine Jacques Levinet Photographe du magazine - Édith Levinet Comité de rédaction - Instructeurs AJL


Numéros précédents

Numéros Hors série


Reouven Benchimol Instructeur krav maga et anti - terrorisme, il a créé son école de krav maga et antiterrorisme en 2017, le KMAI est reconnu en Israël et son travail et son expertise seront rapidement reconnus en France et aux États Unis dans quelque mois.

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éouven Benchimol pratique le Krav Maga depuis l'âge de 5 ans,. Sa riche expérience sur le terrain lui donne un atout particulier qui le distingue d’autres instructeurs.

En effet, en novembre 2014 il s’engage dans l'Armée israélienne durant un an et demi dans l'unité MAGAV (unité de Police spécialisée dans la lutte antiterrorisme et surveillance des frontières) où il est recruté grâce à ses aptitudes pour servir et entraîner les Unités Spéciales d’Anti-terrorisme de la police Israélienne durant 1 an et demi.


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e Krav Maga n’est pas un art martial mais une méthode de combat qui comprend des techniques pratiques et utiles peu importe l’élève, l’ennemi, que ce soit pour des combats rapprochés, à l’arme blanche ou à l’arme à feu.

C’est pour cela qu’il est utilisé par l'Armée israélienne, l’Armée britannique, la Navy, le FBI, la DEA (Drug Enforcement Administration), le GIGN (Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale) et le RAID (Recherche Assistance Intervention Dissuation). Les productions de films américains font souvent appel à des instructeurs de krav maga pour entraîner les acteurs ain de coller à la réalité du terrain.


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es techniques de Krav Maga qu’il enseigne sont un mélange de Krav Maga traditionnel et d’anti-terrorisme. Le KMAI est utilisé tant pour la lutte anti-terrorisme que pour la lutte anti-criminalité puis développé pour répondre aux besoins des civils. Cette expérience lui permettra de vous enseigner toutes les techniques de défense face à des attaques de toutes sortes en se rapprochant au maximum de la réalité. Il peut nous enseigner : Comment se protéger, Comment s'y prendre, Comment bouger, Comment penser.


Le KMAI vous enseignera à agir dans toutes les situations : - Défense contre les attaques à l’arme blanche ou à l’arme à feu ; - Affrontement en milieux isolé ou sombre ; - Gestion du stress - Analyse des comportements et du terrain ; - Défense avec agressivité, précision et rapidité. Il forme les instructeurs de krav maga et de tir (M16, M4, Glock, Tavor).


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'apprentissage du KMAI commence tout d’abord par une préparation mentale et physique.

Un bon combattant, doit avoir un bon mental, un bon physique, une bonne technique et une bonne analyse du terrain. Des formations KMAI pour devenir garde du corps seront mises en place. A la fin de la formation, tout le monde recevras un diplôme de garde du corps mais quelque personne auront une place officiel en tant que garde du corps et commenceront à travailler directement.

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es formations KMAI pour devenir instructeur d'anti-terrorisme, seront mises en place pour certaines personnes.


D'autres formations se feront au cours des années. Toute technique enseignée s'utilise par l'armée et la police israélienne. Durant ces formations, il y aura des intervenants, venant d'Israël et de France. Ils viendront vous faire découvrir d'autres techniques et d'autres savoirs de leur enseignement. Les cours de KMAI seront pour tous les âges, et pour tout niveau, homme, femme, enfant, adolescent et personnes âgées. Il y aura des cours spéciaux que pour les femmes pour se protéger quand elles sont seules, avec ou sans objet de défense. Tout objet peut aider une femme à se défendre, sac à main, parapluie, téléphone etc... Toutes les techniques, se rapprocheront de faits réels.


F ondé en juin 2015 par Mir. Ghislain Bourgeois, fort de ses 10 années d'expériences dans le domaine de la sécurité privé. Parcourant les domaines du gardiennage d'édifices commerciaux, résidentiels, gouvernementaux, municipaux, scolaire, surveillance de chantier de construction, évènements spéciaux sans oublier la patrouille municipale et de quartier. Ghislain Bourgeois à démontré son expérience et ses qualifications au bureau de la sécurité privée afin d'obtenir son permis d'agence qui lui sera accordé et délivré en novembre 2015.


Nos agents

T ous nos agents d'intervention font l'objet d'un processus rigoureux de sélection et son formés de haut niveau an-

nuellement pour intervenir dans des situations d'urgences imprévues. Ils accueillent, informent et portent assistance aux individus, en plus d'assurer le maintien de l'ordre.

Pour tous lieux et/ou événements où une présence physique est requise, ces agents sont munis de leur ceinture de service ainsi que d'une veste de protection contre les armes blanches ou contre tout autre objet contondant.

Notre vision

N otre vision n'est pas de

remplacer les corps policiers qui sont pour nous les premiers combattants à la lutte au crime, mais d'être un complément abordable et d'établir un partenariat efficace pour le bien de la population.

Chez G I sécurité patrouille Présence : - visible - dissuasive - rassurante Pourquoi attendre un incident malheureux ?? Appelez-nous sans tarder !


NOS AGENTS D' INTERVENTION

T ous nos agents d'intervention font l'objet d'un processus rigoureux de sélection et son formés de haut niveau annuellement pour intervenir dans des situations d'urgences imprévues. Ils accueillent, informent et portent assistance aux individus, en plus d'assurer le maintien de l'ordre.

Pour tous lieux et/ou événements où une présence physique est requise, ces agents sont munis de leur ceinture de service ainsi que d'une veste de protection contre les armes blanches ou contre tout autre objet contondant.

LEURS FORMATIONS - Lois et règlements d'un agent de sécurité - Bâton extensible - Menottage - Défense assisté par les points de pression

- Arrestation sans mandat : 1- Notions approfondies sur le code criminel 2- Charte des droits et libertés de la personne 3- Techniques de fouilles sur la personne et objets

4- Détention de personnes mineures et majeures - Contrôle et gestion de la force: - Observation de l'environnement : 1- Observation d'une personne 2- Observation d'un groupe de personne 3- Observation d'un lieu 4- Observation d'un véhicule 5- Observation d'un ou des objets - Appel à la bombe et colis suspect - Situation impliquant un tireur actif - Patrouille municipale et préventive: -Émission de constats d'infractions sur règlements municipaux - Surveillance et protection d'un périmètre et scène de crime - Diriger la circulation (personnes et véhicules)

Nous avons eu la visite dernièrement au Québec du Capitaine jacques Levinet, expert international des forces de l'ordre qui nous a expliqué et démontré sa méthode du Real Operational System ou ROS. . Nous avons été conquis par l'efficacité de cete méthode qui nous conviendrait parfaitement dans le futur.


SERVICES Agent de sécurité / Gardiennage . Édifices commerciaux, résidentiels, municipaux . Édifices gouvernementaux . Chantier de construction . Hôtel . Site récréotouristique

Pour tous lieux et/ou événements où une présence physique est requise, nos agents sont équipés d'un attirail d'intervention. Patrouille municipale et de quartier . Surveillance des parcs et des édifices publics . Contrôle des dommages a la propriété . Stationnement et obstruction de la voie publique . Application des lois et règlements . Sécurité routière

Les agents peuvent émettre des constats d'infraction après avoir été assermentés par le conseil municipal. Événements spéciaux . Accueil et renseignements . Contrôle de foule . Fouilles de sécurité aux entrées . Soutien aux forces policières . Intervention et patrouille sécuritaire

438.869.0591

Les agents sont munis de radio de communication pour assurer la sécurité de votre événement




HARAGEI RYU - Francis DE HEBLES

Voir MAG AJL N°11


FICHES TECHNIQUES - 9we KATA KENJUTSU


ECOLE JAPONAISE HARAGEI 400 ans de mémoire


L' ART DU CENTRE Maitre Francis DE HEBLES

Une des dernières écoles de Kenjutsu à transmettre l'enseignement d'une attaque en simultanée de 7 guerriers contre un samouraï


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  raditional Karate schools depend on the study of the three K's : Kihon, or basic techniques, Kata, or traditional forms, and Kumite, or sparring. Typically, most classes consist of variable amounts of time spent on all or at least two of these cornerstones. Most classes I have attended (and, indeed, taught) have spent the share of the time on Kihon, leading the students through a series of seemingly endless drills on basic punches, blocks and kicks.

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ata and Kumite are often relegated to secondary positions, shoe-horned into slots either at the beginning of class or at the end. Depending on the focus of the individual instructor, the actual amount of kata or kumite practice may actually be limited. Perhaps the Karate community should re-examine this tendency and consider alternative training methods that allow for much greater and potentially far more useful study of both Kata and Kumite.


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y first interest when I started martial arts training over thirty years ago was the study of Kata. Everything about Kata interested me and I must admit that I would have studied Kata intensely even if it was not an intrinsic part of the study and a requirement of rank examinations.

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nfortunately, for many karateka, the study of Kata has lost much of its appeal and is considered by many to be merely archaic tradition learned only examinations or competition.

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n fact many "Karateka" consider Kata training to be non useful to their own development as it consumes time that could be spent more heavingly training combinations, distancing and timing for Kumite.

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ut as said by Funakoshi ‌‌ Fighting does not exist without Kata...when one becomes enthusiastic about sparring there is a tendency for his Kata to become bad Karate...(the student) should practice with Kata as the principle method and sparring as the supporting method.


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ll Karate styles are Kata based to some point. Whether you call it "shadow boxing" or "fighting dance", just about every martial art has some associated Kata. Most historians consider the Kata to stand as kind of picture fighting techniques or strategies from which the practitioner may draw while defending himself. This belief, of course, would require that the student knows the correct applications and actually trains those applications enough to apply them quickly and correctly in a fight. Unfortunately, the original application of a whole of Kata has been lost in the last centuries. Forgotten for sure.

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ften I heared the words from students ´we don´t knw the application and history. Even pretend ‌some technique for show only. Itosu Sensei created the Pinan (Heian) Kata at the end of the nineteenth century and was the progenitor of much of what we call Shotokan Karate. Therefore this collective memory loss extends at least a century in the past. Kata, even then, was becoming merely a novel way of training Kihon.

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f we look at Kata today we would not be too wrong in saying that it has become merely another form of Kihon training. I pretend that Kata "has one overwhelming use; that is to teach us how to use our body...Kata is a step by step method of learning how to use the body to it's maximum efficiency". The actual applications of Kata have been lost forever and therefore the study of Kata is best focused on the actual mechanics of movement rather than possible applications. My personal opinion is that the study of Kata can not be appart from fighting applications and that we should figure out practical applications for the Kata we study.

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he keynote message that underlined everything we studied is that our techniques should be performed with intent. It is not good enough for the student to merely perform a technique correctly. The student must visualize exactly what that movement is actually doing and perform the technique in that spirit. This applies to the individual Kihon as well as Kata.I read in a article from Nishiyama Sensei, head of the ITKF and a founder of the JKA, he stated "the problem today is that everyone copies the instructor and very few people understand the proper application of the moves in the Kata. The Kata is only an outside symbol that represents the inside.

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o you must understand the inside; if not then you are only a puppet doing a movement with no meaning. I would suggest that we need to spend far more time studying the actual applications of Kata to get a closer understanding.

+49 171-3655209


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he origins of our Kata are shrouded in the mists of time for the most part. The Kata are a form of training tool: merely a series of coded movements to help the practitioner remember practical responses to a series of techniques. It feel that much of the meaning of Kata has been lost through simple evolution as the Kata have been passed from instructor to student, each passage stepping a generation further from the original fighting roots.

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here is little doubt that much of what we think we know about Kata is likely incorrect. Itosu originally created the series as an introduction to Karate best used as an instructional aid in school physical education classes. The Pinan series, while having many fighting techniques included in them, were never meant to be a cohesive fighting sequence. hey were in fact callisthenic training with a martial flavor. On the other hand, the Pinan series likely were derived from far older Kata that taught real fighting skills. It is impossible not to see the many similarities between the ancient Kata "Kanku Dai“ and the Heian Kata. On the other hand, there is some suggestion that Kanku Dai is actually a derivative of an even older Kata series "Channan" which were taught by Matsumura Sokon and actually had roots in a Southern Chinese Wushu Form "Chiang-Nan".

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ere we have proof of two, maybe three passages of an original Kata, each one a step from the original form. How could we hope to retain the original integrity of the Kata?




HISTORIQUE

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n retrouve la présence de canidés dans les corps de police déjà vers 1850 avec plus ou moins de réussites. Mais ce n’est qu’à partir de la fin de la seconde guerre mondiale que ces derniers ont été incorporé dans les postes afin d’apporter un soutien aux fonctionnaires lors de leur mission. Ils ont eu les rôles de sauveteurs, de protecteurs, de détecteurs mais également un rôle dissuasif.

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e nos jours, nous nous sommes rendus comptes des nombreuses tâches que le chien pouvait accomplir sans faillir et parfois jusqu’à sacrifier sa vie pour l’homme.

L' OBÉISSANCE

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ouvent mise de côté, l’obéissance est une base indispensable pour le travail en intervention. Le chien, comme le reste de l’équipe, doivent s’adapter sur le champ à l’évolution de la situation. Le chien doit être parfaitement en main mais pas en soumission totale car il doit garder une part d’initiative. Cela s’acquière avec de nombreuses heures d’entraînement et de scénarios. Le maître-chien sait qu’il aura encore plus de travail que le reste de l’équipe.

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e chien doit être à l’écoute de son maitre tout en restant à l’affût des événements. Il est primordial que le chien qui est un atout ne se transforme pas en un problème pour le groupe.


LES RACES

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vant de déterminer la race idéale, il faut déterminer la mission principale que l’on veut confier au chien et le cadre dans lequel il sera engagé ainsi que le feeling du maître envers lui. Cependant le berger belge malinois et le berger allemand ont pratiquement le monopole pour les interventions.

LE TEAM HOMME / CHIEN

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e canidé faisant maintenant partie intégrante des équipes d’interventions, il faut qu’il ne fasse qu’un avec son maître. L’homme et le chien se comprendrons mutuellement à force de vivre et de s’entraîner ensemble. Une condition indispensable pour être une force supplémentaire au sein du team.

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LA TACTIQUE il existe des tactiques dites « standards » pour les interventions canines, il faut encore prendre en compte de nombreux facteurs. Le cadre légal d’abord : Il existe dans chaque pays plusieurs lois différentes qui encadrent l’utilisation du chien dans les tâches de police. La menace et l’objectif (ce que l’on attend de l’intervention de son collègue à quatre pattes) De ces faits, chaque groupe travaillera sur des scénarios types dans lesquels ils feront un usage du chien de la manière la plus optimale. La position du chien par rapport à son maitre : la règle (découlant du sport canin) veut que le chien se trouve du côté gauche. En tactique on privilégiera le côté faible pour laisser la main forte du maître libre.

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our ma part, la position entre les jambes est celle que je recommande. Elle vous permet des déplacements à 360° à toutes les vitesses. Elle vous garde le contact permanent avec le chien et vous pouvez utiliser vos 2 mains. Cela ne modifie pas vos drills de travail que ce soit pour un contrôle, votre protection contre une attaque, l’usage de la radio, de vos armes ou des différents moyens de frappes ou de contraintes. Tout cela en ayant votre couverture par le chien prêt à intervenir en une fraction de seconde.


LE MATÉRIEL ET L’ÉQUIPEMENT

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e matériel a bien sur une grande importance. Pour un choix de matériel judicieux, vous devez là encore étudier la mission à accomplir. Collier ou harnais ? Muselière ? Laisse ou longe ? Gilets pare-lames ou pare-balles ? Chaussons ? etc..

Ce n’est pas le choix qui manque. Prévoyez l’imprévisible ! Ne donnez pas de chance à la partie adverse. Par exemple un collier en chaîne peut permettre à l’adversaire de saisir votre chien et l’étrangler ou il peut s’accrocher lors de d’investigations.

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our le véhicule aussi : est-ce que votre compagnon est susceptible d’intervenir directement depuis le véhicule ou non ? Existe-t-il un moyen d’extraction secondaire en cas d’accident ?

A-t-il une possibilité de vous protéger si l’on vous agresse ? Comme vous, le chien d’intervention a besoin d’entraînement, d’expérience, de matériel. Par contre, il a besoin de vous pour s’équiper et être opérationnel.

Lui vous apportera : motivation, protection, fidélité et loyauté à toutes épreuves.


Olivier Gremaud K9 Détection & inspection service École supérieure de commerce de Genève Consultant Instructeur canin (K9 unit) Nom de l’entreprise Employeur confidentiel Dates d’emploi janv. 2006 – Aujourd’hui Durée d’emploi 11 ans 7 mois


Témoignages de débutants : Phred et Christine Fred -  "Nous avons commencé le Self Pro Krav (SPK) il y a quelques temps déjà à île Maurice avec Didier Ameer et

sommes très heureux de l’état d’esprit de ce club et de la façon dont nous apprenons. A 59 ans, j’ai décidé de me lancer avec ma femme Christine dans le SPK.il y a bien longtemps, j’avais pratique la boxe thaï pendant 10 ans et il y a peu le jiu jitsu brésilien, en Australie ou nous résidions puis à Grand Baie lorsque nous nous sommes installés à l' île Maurice. Ma femme, elle avait pratiqué le judo et aussi le jiu-jitsu brésilien.

Commencer un sport tardivement n’est pas toujours facile mais la pédagogie du professeur et la volonté de l’élève font le reste. La pratique d’autres sports nous a beaucoup aidés comme la boxe thaï ou le jiu-jitsu brésilien. Après une carrière bien remplie, il était temps de prendre soin de soi, et ça, le SPK nous le permet tous les jours. Cela fait maintenant 3mois que nous pratiquons le SPK avec grand bonheur, Didier Ameer et son fidèle assistant Nicolas François, nous font beaucoup travaillé mais la réussite est à ce prix, j’ai trouvé dans le SPK quelque chose qui correspond à mon caractère. De plus, l’aspect technique prime sur le physique ce qui n'est pas négligeable à notre âge, une excellente ambiance règne dans ce club AJL île Maurice, surtout dans les entraînements extérieurs qui permettent de nous connaître tous et de s'apprécier mutuellement ".

+230.578.142.27

Christine - " Ayant pratiqué étant jeune du

judo et plus récemment quelques mois de jiu-jitsu brésilien, le SPK m’a apporté confiance en moi et une meilleure maîtrise. Le fait de prendre des cours chaque semaine m'a faite évoluer rapidement et j’en suis heureuse". Nous espérons franchir de nombreuses étapes et de continuer à prendre autant de plaisir......


J

e suis Jean Didier Ameer le DTN Océan Indien de la fédération International de Self défense et de police training AJL aussi le Vice-président de la fédération jui jitsu brazilian de l’île Maurice. je suis heureux d'avoir obtenu mon certificat de la MQA (Mauritius Qualification Authority) en Instructeur Self défense, L’autorité des qualifications de Maurice est l'organisme gouvernemental responsable de l'établissement des normes d'éducation et des qualifications d'accréditation ma jugé compétant en tant que Instructeur Self défense, par des critères bien établi la santé physique le maîtrise du sujet Self défense. C'est avec un grand plaisir que je dispense l'art de Self défense SPK à ile Maurice. Encadré par mes assistants qui sont super motivés. La route est encore longue mais avec les supports que j'ai au niveau local avec mon équipe de Self Pro Krav AJL, la fédération de Jui jitsu brazilian de Maurice et mes proches, au niveau international des écoles de Krav Maga, MMA, JJB, la Grand famille AJL des nombreux pays et particulièrement le Fondateur SPK Capitaine Jacques Levinet qui est aussi le parrain du Self Pro Krav de île Maurice. Avec tous ces supports je promets un avenir sécurisé à île Maurice où il fait bon vivre.


Début de la démo par Jean Pierre. Techniques et quelques clés avec 2 enfants.

P

uis entouré des petits adhérents nous avons présentés quelques techniques de défense sur les étranglements debout et au sol, poussées inattendues, tirage de cheveux, saisies de poignet etc. Plus combat au sol. Et pour finir une petite clé. (En gros un mixage d’un cours avec le temps que j’avais). Le but pour moi était d’expliquer (quand je le pouvais) que le SPK peut leur permettre de trouver une solution de dégagement (si on peut utiliser ce terme).

Les enfants (nos petits sportifs) s en sont donnés à cœur joie et j’ai été très fière d’eux !!!

Un bref moment en toute sympathie !!!

Dommage qu’il n’y ait pas eu davantage de monde et surtout d’adultes. (Peut-être dû au créneau horaire). Seul, quelques parents ont demandés des renseignements mais malheureusement leurs enfants étaient encore trop jeunes. (pas encore 5 ans).





ATTAQUE DE MARTEAU CIRCULAIRE


ATTAQUE DE MARTEAU REVERS


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n événement théâtral annoncé depuis des mois à la clinique des jardins de Sophia de la ville de Castelnau le lez dans l’Hérault, a été organisé par l’association Hellébore et son mentor le Docteur Bernard Michel, Directeur de la clinique. En effet il a frappé un grand coup avec la venue de la Compagnie Baudracco qui a pris possession des jardins en plein air de l’établissement médical pour la mise en scène de son spectacle de l’adaptation au théâtre de La fille du Puisatier de Marcel Pagnol.

Le Docteur Bernard Michel Président de l'Hellebore

Une soirée inoubliable qui a débuté, avant la pièce de théâtre, par un cocktail dînatoire dans le parc de la clinique Les Jardins de Sophia, puis un discours du Docteur Bernard Michel, président de l’Association Hellébore, cycle émotion et mémoire, entre autres précurseur de l’atelier de canne défense dispensé par le Maitre fondateur de la discipline, le Capitaine Jacques Levinet.

"La fille du puisatier" au théâtre : une première signée Jean-Claude Baudracco Si on connaît bien "La fille du Puisatier" au cinéma avec l'inoubliable tandem Raimu/Fernandel, aucune version théâtrale n'avait jamais été tentée jusqu'alors.


Le Docteur Bernard Michel réunit avec Hellébore l'Art Martial et l'Art du Théâtre

SYNOPSIS

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n 1939, Patricia, la fille du puisatier Pascal Amoretti, se retrouve enceinte de Jacques Mazel, un jeune aviateur, fils de bonne famille.

Or, celui-ci est mobilisé et ses parents refusent de reconnaître l'enfant. Amoretti chasse sa fille de la maison. Peu après, Jacques Mazel est porté disparu, son avion s'étant écrasé en flammes derrière les lignes allemandes. Puis survient l'armistice et les Mazel tentent maladroitement de renouer avec Amoretti dans l'espoir de retrouver un peu de leur fils dans l'enfant qu'ils ont si bassement repoussé. Grand classique de Marcel Pagnol, "La fille du puisatier" a été créée pour la première fois au théâtre. Le metteur en scène et acteur JeanClaude Baudracco s'est lancé dans l'adaptation du film . Présent également en tant qu'acteur dans la pièce par ce belle soirée d'été au théâtre en plein air de la clinique des Jardins de Sophia de Castelnau le lez dans le département de l'Hérault.


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utre ses rôles dans des films ou dans des spots publicitaires, on connaît bien Jean-Claude Baudracco à Tarascon, où il avait donné voilà quelques années des pièces émouvantes comme « Marius » et « Fanny » ou encore son pétillant « Midi à 14h ». Comédien, chansonnier, metteur en scène, Jean-Claude Baudracco s'est fait le chantre du répertoire méridional. Il nous revient le 23 septembre avec une nouvelle pièce, « La Fille du puisatier », adaptée de l'œuvre de Marcel Pagnol.

Jean Claude Baudracco, dans une interview à la Dépêche du Midi Est-il facile d'adapter pour le théâtre un scénario de film comme celui-ci ? Non, c'est la première fois que ce texte est joué au théâtre. Dans le film il y a beaucoup de scènes d'extérieurs, 17 rôles différents, de nombreux décors et le travail d'adaptation et de mise en scène m'a demandé deux ans. Mais le soir de la première, le petit-fils de Marcel Pagnol, Nicolas, est venu en personne nous féliciter et nous encourager, et ça c'était un moment inoubliable.

Techniquement, vous avez dû faire preuve d'imagination ? Oui, à tous les niveaux. Nous avons recours, en particulier, à un tourniquet, une sorte de manège mécanique qui permet de changer de décor rapidement, sans casser le rythme de la pièce. Pour les 9 comédiens, c'est un vrai casse-tête puisqu'il y a 12 tableaux différents, mais pour le spectateur, c'est très fluide et permet de recentrer l'action sur le contexte de l'époque.

Encore une pièce de Pagnol, votre auteur préféré. Que pouvez-vous apporter de singulier à cette œuvre ? Tout le Midi ! Nous sommes tous méridionaux, nous avons tous « l'accent » mais aussi la faconde, la jovialité, l'esprit du Midi. Même si l'histoire est grave et poignante, il suffit d'une boutade ou d'une pirouette pour aller chercher le sourire et la légèreté. Mais que l'on me considère un peu comme le mainteneur d'un certain esprit méridional, oui, cela m'honore et me fait plaisir.


Le Docteur Bernard Michel réunit avec Hellébore l'Art Martial et l'Art du Théâtre

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our le docteur Michel « on ne soigne pas la maladie d'Alzheimer avec deux cachets par jour ». Cultivant la mémoire, l'équipe soignante, si elle ne guérit pas la maladie, œuvre pour faire obstacle à son évolution naturelle. Elle développe un modèle de prise en charge avec des thérapies non médicamenteuses dans le but de conserver chez le malade les fonctions cognitives préservées et de compenser, voire restaurer, les fonctions déficitaires. De nombreux projets ont été réalisés pour permettre aux patients de développer les capacités de mémoire et de sortir de l'enfermement dans lequel ils avaient progressivement plongé

La voile avec le navigateur Bernard Gallay, les arts martiaux avec la canne défense de Jacques Levinet, la peinture avec l'exposition de Catherine Vollhardt, la photographie avec Florence Caillens-Boniface, le goût-émotion-mémoire avec Éric Cellier, et plus récemment l'expression théâtrale avec Pagnol et Galabru et à présent avec la Compagnie Baudracco.

04-99.58.33.33


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I

"More and more women are looking forward to learning how to defend themselves..."

s fear and panic the ferment of self-defense? Is it a temporary and merely commercial phenomenon? Or is it the feeling of insecurity, as some closet thinkers say, what creates this fear of aggression? In other words, won't it be the horrors of society and its media parade the real cause of the gangrene of self-defense? Who holds the truth, if truth exists in this matter? Anyway, let's be very pragmatic and treat this problem more or less present among many women who are suffering from its side effects (insomnia, fear of being alone at home, going out at night or going to certain places, nausea, lack of confidence, and the list goes on...). It's therefore a broad topic, if not a challenge, to present and make you feel like learning the Anti Aggression Self-Defense method For Women of Self Pro Krav or SPK. My intention is not that of approaching the subject from a philosophical, psychological or economic point of view, but from the realism of common assault that women can suffer. It is clear, for the sake of truth and without discrimination, that there is a marked difference between the physical attributes of men and women. Does this differentiation work against the female gender? Certainly, women are less macho and therefore they are more aware of their possibilities and their limitations. In other words, faced with the danger, women are more realistic. Moreover, when it comes to get out of a violent attack, they have fewer qualms to hit, bite or respond in the genital areas of men. Advantage or disadvantage, the question doesn't arise at the time of the assault, and any theory about it is superfluous. Let's be realistic in front of the danger of the street and the brutality of the attacks.

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enerally, women are not assailed in the same way as men since motivations for the aggression are often different. In most cases, the man who attacks a woman looks at his prey rather as an object of desire and lust, thinking he has enough physical superiority to reach his goal. But women are not as weak as you might think, and they are probably more determined than men. They also have some physical benefits associated with sex that they should know how to use, if needed, to get out of a dangerous situation. All they need is a more realistic training, based on simulations, in order to prepare them to get out of a bad situation. But we must be honest and tell them that the method is not a magic recipe, there is no such thing like a definitive blow by which women can become invincible. Nothing is ever safe, even if you are an expert or a combat sports champion, because we can't predict the imponderable or control fate. Therefore, let's stay being humble, because escaping without losing honor, must remain the first and last choice, and only when this is not possible, the method may prove useful.

For Captain Jacques Levinet, founder of Self Pro Krav, female module, and author of a book on the method, what happens when an attack is imminent? This phase is crucial to the way forward. Proper evaluation of the situation will determine the success or failure of the practice of our method. But how can we assess a situation of stress? We must exercise our minds with a relatively simple brain exercises, asking ourselves the following questions to manage the crisis: Why? When? Where? What? How much?


Reason for the aggression

I

s the attacker demanding money? If there is extreme risk of losing life, it's better to yield, while trying to collect as much information as possible to describe the aggressor so that he can be later identified. In case of sexual assault, your honor, but never your life, will deserve that you defend yourself. Finally, in the case of gratuitous violence, the degree of danger will make you choose between acting and escaping if the risk of sequels is too big.

Moment of the aggression

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  he scene can occur during the day, in which case the visibility will enable you to better identify the perpetrator or perpetrators (physical features, number, etc.) as well as the possible ways out. On the contrary, if it happens at night, it goes without saying that you will not be able to pick up as much information as in the first case, but the tone of voice of the attacker will be a significant element. The more or less difficult weather conditions (rain, snow, wind, heat) also play a role, for example, a stifling heat or a slippery road, especially in case of persecution. We conduct training sessions in dim light or in fatigue situation so that trainees can get used to these special circumstances.


Scenario of the aggression

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f the place is open (street), it may be possible, although not sure because cowardice is commonplace in these cases, to count on the immediate environment because of the shouts due to the outsourcing of the victim's inner reaction. On the other hand, if the aggression occurs in a closed environment (apartment, private place), you can only rely on your inner strength and lucidity to escape. The scene can also occur in a crowded location (neighborhood, stadium, street demonstrations) or in a risky zone (supermarket, shopping area). In these cases, we must consider the movement of the masses and the number of attackers. This situation requires more suspicion and smell, since courage is not usually characteristic of criminal fact witnesses.

Surroundings of the aggression

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t's necessary to get accustomed to the environment settings of the aggression. A desert place will necessarily require from you to have a broad view of 360° to find a trivial support element (sand, water, a piece of wood, a stone, a chair ...) that could help you answering the attack. The crowd, even if they don't help you in a direct way, can protect you and take you away from the aggressor. Considering the apparent danger of assailant (or assailants), firearms or knives, is also a key element of the "How?" Finally, the emergency exits must always be your primary concern to be able to run away.


Perpetrators of the aggression

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he number of aggressors is crucial to position yourself if you can't run away. You must always be placed at the ends of the group to carry out a first response that facilitates your escape as soon as possible. Being able to describe the attackers is also a main component of the female Self Pro Krav training method, very useful to later identify the perpetrator or perpetrators of the crime and begin to repair the mental and physical damage.

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he typical pattern of our exercises begins by determining the gender, ethnic type, apparent age, size, corpulence, color and haircut, special signs (shaved head, beard, mustache, way of walking), clothes (type, color, etc.), prescription glasses or sunglasses, voice pitch and accent, and the use of a particular slang or language. To this must be added the direction and means of escaping of the attackers.

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or the founder of Self Pro Krav or SPK, aggressions often begin with a brutal phase of insults or demands. An inevitable dialogue is then set. In our courses we insert this type of relationship so that women get accustomed to this problem which is structured as follows: breathing, language, lies and voice intonation.

Ont particcipé à ce reportage Céline Chirouze, Christel Gommane, Christine Foulon et Dessica Arsène


Breathing Without a controlled breathing, there's no possible action. You don't breathe naturally in cases of violence. Our discipline favors abdominal breathing that permits centralize inspiration in the belly area to handle stress and bring the energy to the ground. The goal is to "stick to the ground" and avail ourselves of the telluric energy, instead of breathing only through the pulmonary respiration, which causes a loss of balance and capacity of reaction.

+33.467.075.044

*** Regular seminars for women and training courses to become instructor are provided by the expert at the Jacques Levinet International Federation of Self Defense and Police Training (AJL). *** Coaching and training online by Captain Jacques Levinet in several languages are also available on request.


The expert advice

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he way of breathing in case of aggression is: long pulmonary inspiration through the nose with your mouth closed, abdominal air lock with your mouth open, slow abdominal exhalation through the mouth during the dialogue phase, dry exhalation through the mouth in the moment of response, relaxation and resumption of pulmonary inspiration, for maximum ventilation, once the danger has gone or during flight.

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raining allows you gradually to reach this goal, and the results are spectacular, especially at the level of confidence. Conversely, bad breathing reduces the visual field of the victim: it's the "tunnel effect", well known by professionals.   e no longer control the body or capture the opportunities to escape or response, we focus our mind. The result is a general immobility which annihilates any will to act. Our method greatly helps women, in general more gifted than men for changes in the respiratory rate. Bad breathing is synonymous with constricted vision, imbalance and impotence. Crisis accelerates breathing and causes panic.


LE PRESTIGE DU KENJUTSU Par Donn DRAEGER

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e prestige qui entoure le KEN-JUTSUKA au Japon, peut probablement être attribué aux efforts de MAHITO KUMINA qui vivait au milieu du IV° siècle. Depuis, les experts ont constamment perfectionné et épuré cet art, mettant au point des méthodes auxquelles ils donnaient leur nom de famille.

Leurs élèves modifièrent souvent ces méthodes et établirent leurs propres « RYU » ou écoles, de sorte qu’à la fin de la période EDO (1867), il existait plus de 200 écoles de KENJUTSU.

Le choc que produisit la science du sabre sur le cours de l’histoire du Japon est terrible. Par exemple la lutte pour le pouvoir politique qui précéda la Restauration des MEIJI (1868) ne fut littéralement combattue que par quelques-uns des meilleurs « hommes de sabre » des clans SHOGUNATE et royalistes. MORISADA IISASA, le dernier expert du XIX° siècle de l’école de KENJUTSU de KATORI SHINDO conspira contre le clan des SHOGUNATE. Au cours d’une réunion secrète avec les royalistes, dans une taverne, MORISADA fut entouré par les troupes SHOGUNATE qui se cachaient à l’extérieur de la pièce et se préparèrent à se jeter sur lui. MORISADA, les apercevant, dégaina et exécuta un mouvement foudroyant vers la bougie qui se trouvait dans une lanterne de bois et de papier en face de lui, qui vacilla légèrement. MORISADA souleva alors vers le haut de la lanterne pour montrer qu’il avait coupé en deux la bougie et la lanterne sans les faire tomber. Ses ennemis fuirent en hâte, ne désirant pas rencontrer un tel génie dans l’art de manier le sabre. Quelle discipline, occidentale ou japonaise, aurait été supérieure dans un tel combat ? Difficile à dire maintenant, sans combat réel ou à mort.


DE BUDO MAGAZINE EUROPE Henry PLEE

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n occident, l’arme est légère et l’on s’en sert généralement pour piquer brusquement o à coups continus destinés à affaiblir l’adversaire en le faisant saigner, avant de porter le coup fatal. La méthode japonaise, elle, est basée sur la croyance que le premier coup, seul, donné correctement, doit déterminer le vainqueur et le vaincu. Au besoin en le coupant en deux. De plus, en tenant le sabre avec les deux mains, depuis le premier jour de l’entraînement, le sabreur japonais se place lui –même le torse face à l’adversaire prêt à le rencontrer pour un combat décisif. Ceci l’oblige à acquérir une façon ingénieuse de concevoir le combat, puisqu’il est plus exposé, il doit plus se décider à attaquer que dans la position de profil adoptée dans la technique occidentale qui incite à la défense. La technique occidentale européenne en exposant une petite surface de cible, affaiblit la force de l’attaque et son action consiste presque essentiellement en des mouvements d’avant et de recul. La méthode japonaise permet plus de vitesse et de puissance au sabre tenu fermement dans les deux mains, que la méthode occidentale peut en espérer en tenant le sabre par le poignet et d’un seul bras. La méthode japonaise permet également la tenue su sabre d’une seule main mais elle est très peu utilisée. Les combats de sabre et les duels n’existant plus au Japon, le KENJUTSU est maintenant reléguée au rang d’un art de perfection personnelle, d’exhibition ou de compétition sportive. Les exploits à lala lame nue sont limités aux KATAS ou à des formes pré-arrangées soit que l’on agisse seul ou avec un partenaire. Le IAI-JUTSU consiste uniquement dans la maitrise de la façon de dégainer en diverses postures ;

L’action compétition du SABRE se retrouve dans le « KENDO » au cours duquel les combattants portent des masques protecteurs et une armure, se servent d’un sabre de bambou et suivent des règles spéciales. Le score est basé sur des touches ou des coups portés sur des points vitaux bien connus.



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